Catégories : Hommes fessés
il y a 3 ans
L'excitation de l'entrée prochaine dans le monde adulte me donnait des ailes.
Dernière année de lycée, dernière année dans ce pensionnat. L'année prochaine je m'installerai en ville, dans l'appartement que mes parents m'avaient promis si j'avais mon BAC. J'entrais dans ma chambre, le portable à l'oreille et tout en discutant avec ma copine, je me jetais sur mon lit.
La pièce était éclairée par la lampe de bureau de mon camarade "colocataire" de chambre, en train de travailler. En fait de camarade, on m'avait collé un mec des cités, issu d'un projet d'élite de je sais plus quoi. Tout ça parce que j'étais le responsable du bureau des élèves. Enfin, n'est pas populaire qui veut. Moi j'avais cette chance. Bref je discutais donc tranquillement avec ma dernière conquête, depuis à peine trente minutes quand ce sauvage se leva b r u t a l e m en t de son bureau pour venir me prendre des mains mon portable et l'éteindre.
Sous le choc, je restais bouche bée un instant avant de me mettre à lui crier dessus. C'est là que je me suis fait débordé, en l'espace d'à peine trente secondes, il se jetait sur moi me plaquant au sol comme le ferait un lutteur et me fourrait dans la bouche ma vieille paire de chaussettes qui traînait sur mon lit. Allongé de tout son poids sur moi il me tira les bras en me faisant une clef de judoka, m'empêchant par là même de faire le moindre geste de défense sous peine de risquer de me faire casser le bras.
Il tirait un coup sec sur mon jean taille basse (les filles l'adorent), et joignait mes poignets pour les attacher avec notre cravate d'uniforme (qu'on ne porte qu'en semaine, heureusement il est vraiment trop moche, mais les filles l'aiment bien aussi, parait que ça fait homme d'affaire. Bref, après m'avoir ficelé comme un veau pendant un rodéo, il m'empoigna pour me redresser et me coincer entre son bras de sauvage et son torse.
C'est ce moment là que sont arrivées les étoiles dans les yeux. Quand sa main libre a commencé à s'abattre sur mon magnifique derrière (je ne fais que répéter ce qu'on me dit, j'y peux rien j'ai un beau cul). Une vraie brute, et j'avais beau essayer de me dégager, ça n'y changeait rien, à part resserrer l'étau. J'avais beau essayer de lui dire d'arrêter au travers de mes chaussettes, ce n'était que gémissements pitoyables. Encore plus humiliant. Sa main de b o u r r e a u ne se fatiguait pas et à f o r c e de crier au travers de mon bâillon je commençais à étouffer. Finalement il arrêta de me frapper les fesses..
Puis il enleva sa ceinture, et je me mis à hurler de terreur un « non pitié pas ça ». Je ne pense pas qu'il est reconnu le 'pitié, non !' mais plutôt que de me frapper avec la ceinture il l'utilisa pour m'attacher les chevilles aux poignets.
Je me trouvais alors dans une position peu enviable, à genou sur mon lit, le cul en l'air, la tête enfoncée dans le couvre lit, et les poignets attachés à mes chevilles, le tout, entre mes jambes. Dans l'impossibilité de cacher mon intimité j'en étais réduit à essayer de serrer les jambes le plus possible pour ne pas trop exposer à son regard ma verge qui menaçait d'un début d'érection et mes testicules qui pendaient entre mes bras, mais la position de mes bras entre mes jambes m'obligeaient bien évidement à m' exposer de façon totalement impudique.
Pour m'immobiliser complètement, il récupéra dans son armoire une longue corde de nylon et s'en servi pour me lier les épaules et sous les bras, puis une dernière fois aux chevilles, en passant et repassant sous le lit afin que je ne puisses plus m'allonger ou me mettre sur le coté. Ainsi ficelé, j'en été réduit à rester les fesses en l'air, ne pouvant pratiquement rien cacher de mon anatomie.
Comme je me mis à recracher le bâillon, il revient avec un rouleau de scotch et me fourrait à nouveau mes chaussettes sales dans la bouche, en faisant plusieurs tours d'adhésif autour de mon visage. Mes cris sont maintenant à peine audibles et il a l'air de s'en moquer complètement. Juste avant de retourner à son bureau, il me colla deux nouvelles claques sur les fesses et me dit juste : « Reste sage, je dois bosser. »
La tête collé sur mon lit, j'avais tout loisir de l'observer. Il avait le teint un peu hispanique ou portugais, sa personnalité dégageait déjà une grande maturité. Il était sérieux, concentré et pas mal.
Mes fesses étaient en feu, toutes mes parties intimes en vue et à l'air libre. J'étais effrayé à l'idée que des copains à lui puissent le rejoindre dans la chambre et me voir ainsi, tout nu attaché sur le lit comme un jeune esclave, les fesses rougies par la fessée.
Pourtant, je commençais à avoir une érection en matant mon voisin de chambre. Cherchez l'erreur. Une fois qu'il eut fini, pas loin de d'une demi heure plus tard, il s'assit à coté de moi.
- Tu vois ton téléphone, maintenant je vais m'en servir pour appeler ta copine. Elle va te découvrir comme ça, tout nu le cul à l'air. Je crois même que je vais lui réserver une surprise.
Il décrocha le téléphone et rappela le dernier numéro.
-Allo, vous êtes la copine de mon voisin de chambrée ? Vous devriez venir le rejoindre tout de suite il a besoin de vous, il est attaché tout nu sur son lit et n'arrivera pas à se détacher tout seul. Moi je dois partir, je n'ai pas le temps de m'occuper de lui. Il raccrocha aussitôt sans attendre la moindre réponse. J'étais piégé !!!!
Il se mit à rire en sortant de la chambre. sur le moment je ne compris pas pourquoi. Quelques secondes plus tard, deux copains à lui faisaient irruption dans la chambre, éclatant de rires en me voyant ainsi ligoté.
-
Putain on va rigoler un peu, avant que sa copine arrive.
-
Bonne idée lui répondu l'autre.
Mon colocataire les rassura :
-
Il est à vous pour au moins un bon quart d'heure avant que sa copine ne se pointe.
-
Dit donc, tu lui as bien chauffé les fesses, mais pas l'intérieur.
Le plus grand se dirigeât vers la salle de bain et revint en tenant à la main mon tube de dentifrice.
- Écarte lui les fesses, on va lui remplir le cul. J'ai un copain qui a subi ça dans un b i z u t a g e de colonie de vacances et il en garde un souvenir cuisant.
J'essayais de gesticuler et crier pour leur demander de me laisser tranquille, mais sans prêter la moindre attention à mes gémissements, le plus costaud prit mes fesses à deux mains et les écarta sans ménagement afin de dégager totalement mon anus.
Pris d'un fou rire, le plus petit monta sur le lit et s'assit sur mes mollets, les jambes écartées, de chaque coté du lit, afin de m'immobiliser complètement. La tête à seulement quelques centimètres de mes fesses, il avait une vue imprenable sur la raie de mes fesses. Son poids sur mes jambes m'interdisait maintenant le moindre mouvement.
Il plaqua le tube de dentifrice sur mon trou de balle et l'enfonça l'embout métallique entre mes sphincters, obligés de se dilater sous la pression.
Une fois bien en place et certain de pouvoir me remplir les fesses, il commença à presser le tube de l'autre main. Je sentais commencer à couler en moi la pâte mentholée. Une sensation bizarre de froid et de chaud me fit commencer à transpirer.
Sous les rires des trois comparses, le tube continuait à se vider en moi. Comble de malchance, il s'agissait d'un tube entièrement neuf. Il pressa le tube en entier pour en extraire tout le contenu. J'avais maintenant dans les fesses tout un tube de dentifrice mentholée "haleine fraîche".
- Magnifique, il a tout absorbé. Tu vas voir ça va lui chauffer les fesses jusqu'à demain.
En effet, un feu intérieur commençait à me brûler l'intérieur du rectum. Une sensation étrange de froid intense et de chaleur à la fois.
-
Maintenant avant que sa copine arrive on va le maquiller à notre manière et le passer au cirage. Qu'est ce que vous en dites les gars ?
-
Bonne idée, attend je retourne dans ma chambre, j'ai un tube de "Baranne noir", ça devrait faire l'affaire.
Quelques secondes plus tard, il revenait, tenant à la main un tube entier de cirage et un chiffon rempli de marques de cirage qui devait lui servir pour ses chaussures de foot.
Toujours assit sur mes mollets, il récupéra le cirage et le chiffon et commençât par passer une main entre mes cuisses pour atteindre mes testicules et ma verge recroquevillée depuis longtemps contre mon ventre.
- Putain ou elle est sa bite ?J’arrive pas à l'attr a p e r tellement elle est petite.
Il ressortit sa main et lorsqu'il la replongea de nouveau entre mes jambes, je sentis le chiffon rempli de cirage emprisonner mes bourses. D'une seule main il m'avait replié le chiffon autour de mes deux testicules et faisait rouler le chiffons imprégné de cirage afin de bien faire pénétrer le cirage sur la peau.
Puis il ressortit le chiffon et une fois remplit à nouveau de cirage, il s'attaqua à mon pénis toujours aussi bien caché dans les poils de mon pubis.
La main se referma, sur mon sexe et ses doigts se mirent à le presser dans l'intention évidente de le faire grossir. Sans réellement me masturber, le jeune s'appliquait à me serrer la verge par petites pressions sur le bout du gland, pour la faire grandir. En tant que garçon, il savait bien évidement comment faire pour faire bander un verge de jeune a d o l e s c e n t . Je ne pus l'empêcher de me faire bander et lorsqu'il fut satisfait de mon érection, il continua de longues minutes à me passer et repasser le chiffon plein de cirage sur la verge, il continua en mettant aussi du cirage sur les poils de mon pubis, en prenant bien soin de terminer entre les jambes.
- Tu as oublié ses fesses, lui cria le plus grand.
Une fois le chiffon à nouveau rempli de cirage, je sentis sa main passer entre mes fesses pour me teindre en noir le sillon que je ne pouvait que lui exposer sous ses yeux. Puis se fut au tour de mes deux fesses de se retrouver intégralement passée au cirage. Une forte odeur de cirage m"emplissait les narines.
- Le tube est vide. Putain on l'a bien colorié !!!
Les trois garçons étaient pris d'un fou rire indescriptible.
Ayant finit son bizutage, le plus jeune descendit du lit. Heureusement car son poids commençait à me broyer les mollets.
La tête contre le lit je pouvais cependant voir les trois b o u r r e a u x qui me mitraillaient maintenant avec leurs téléphones portables. Comprenant facilement la suite des évènement, je ne pu retenir des larmes et me mit à pleure comme un e n f a n t .
Ravis de leurs trésors de guerre, ils décidèrent de quitter la chambre, me laissant ainsi, les fesses à l'air, rempli de cirage et de dentifrice, obligé d'attendre que quelqu'un vienne me délivrer. Avant de sortir, mon colocataire me dit:
- On va au Mc Do retrouver les copains. Rassure toi ta copine ne devrait pas tarder à venir si elle tient à toi. Sinon tu devras attendre notre retour.
La porte claqua, signifiant maintenant que j'allais devoir attendre une solution extérieure.
J'avais beau essayer de gesticuler dans tous les sens, il m'était impossible de bouger, Incapable d'attr a p e r avec les doigts, les noeuds qui m'emprisonnaient. Je décidais d'essayer d'ôter mon bâillon pour appeler au secours. Mais bien vite je compris que si je faisais cela, j'allais être la risée de tout le pensionnat. Il me fallait attendre la délivrance et prendre mon mal en patience. Mon ventre commençait à me brûler et je sentis en moi les premier gargouillements annonciateurs d'une prochaine catastrophe si on ne venait pas me libérer rapidement.
Cela faisait maintenant plus d'un quart d'heure que les garçons étaient partis. Toujours personne, j'entendais vaguement des pas dans le couloir, mais je me gardais bien d'essayer d'appeler au secours.
Soudain, une forte poussée dans mon ventre m’obligea à serrer les fesses de toutes mes f o r c e s, pour éviter de me faire dessus. Je tremblais comme une feuille en serrant mes sphincters de toutes mes f o r c e s. Je serrais les dents, en espérant retarder le plus longtemps possible le prochain assaut.
Le temps semblait s'être arrêté, je transpirais tellement que tout mon corps était ruisselant. Mon visage était complètement trempé de sueur et le dessus de lit commençait lui aussi à être mouillé. Lorsque j'entendis la porte s'ouvir puis claquer en se refermant, je fermais les yeux en priant que ce ne soit pas des inconnus qui pénètrent dans la chambre.
Mais je reconnus immédiatement la voix de Léa. Horreur, elle n'était pas seule et parlait à une copine en s'approchant de moi.
- Oh la vache, regarde ce qu'ils lui ont fait !!
Maintenant tout prés de moi, je voyais les deux filles plantées devant moi, qui me regardaient, hébétées les bras ballants devant un tel spectacle.
- On ne peut pas le laisser comme ça, il faut appeler au secours.
Je gigotais et secouais la tête pour leur faire comprendre de ne surtout pas appeler de l'aide. Au moment même ou s'arrêtait de secouer la tête, une montée incontrôlable me fit trembler comme une feuille.
Les filles comprirent qu'ils leur fallait intervenir au plus vite. Mais elles réagirent trop tard. Je ne pus retenir un flot de dentifrice qui jaillit de mes fesses en un jet continu, se déversant comme la lave d'un volcan sur mes cuisses. J'étais paralysé par la honte de me vider devant deux jeunes filles paralysées par ce spectacle qu'elles n'auraient jamais pu imaginer voir un jour.
-
Vite, il faut le détacher, aide moi, cria Léa.
-
Cherche vite des ciseaux ou un couteau.
Léa prit l'initiative et prenant son courage à deux mains elle passa sa main entre mes jambes pour accéder aux noeuds fait par mon colocataire de chambrée.
Pendant que les filles continuaient à me délivrer, j'essayais tant bien que mal de contenir mon ventre et mes sphincters car les spasmes redoublaient d'intensité. Au moment ou je fus entièrement libéré, le cauchemar se réalisa sous leurs yeux.
Incapable de me contrôler, je me vidais devant elles, essayant d'une main entre mes fesses de stopper le liquide visqueux qui continuait à s'échapper de mon anus.
- Va vite aux toilettes, je t'en prie.
Pleurant comme un bébé, je filais vers la salle de bains, une main fourrée dans la raie des fesses pour endiguer du mieux possible ces vagues successives qui menaçaient de se répandre sur le carrelage de la chambre, l'autre devant mon sexe que j'essayais stupidement de cacher.
Je me précipitais sur la cuvette des wc, juste à temps pour me vider cette fois d'un liquide qui n'était plus du tout du dentifrice. Par bonheur et par miracle, j'avais pu échapper à la honte suprême de faire ma "grosse commission" devant les filles. J'avais au moins évité ça !!!
Mais comment est ce que j'allais pouvoir me nettoyer et enlever seul le cirage qui me recouvrait les fesses et tout le sexe. Il me fallait absolument de l'aide pour me laver complètement. J'en étais réduit à demander de l'aide à Léa et sa copine.
- Léa, je t'en prie venez m'aider à faire partir le cirage avant qu'il ne sèche, je ne pourrai pas y arriver tout seul.
Les deux filles entrèrent dans la salle de bain. Au point ou j'en étais, je ne cherchais même plus maintenant à leur cacher ma nudité et mon intimité. Elles avaient eu tout le temps de me voir en détail et de connaître maintenant parfaitement mon anatomie.
- Monte dans la douche on va s'occuper de toi. Mais ça va être long.
En effet le nettoyage dura un temps infini et lorsque je dus me laisser laver le sexe, les testicules et entre le fesses, un sentiment mêlé de honte et de plaisir provoqua à retardement une érection incroyablement ferme.
Les filles s'en amusèrent et me disant que la prochaine fois elles savaient comment me faire bander.....
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